Mission Antarctique

Et encrée, ce qui est quand même le plus important...

"la forteresse d'Orlik" ...

En effet, c'est gros! De plus voir un Lefranc grimé qui ressemble à un autre, tout ça dans un pays de l'est....Voilà qui ressemble un peu a quelque chose de déjà fait dans l'enfant Staline.
Attendons la suite du scénario. En tout cas, j'aime bien le dessin.

Orlik est une ville qui existe.

stephane a écrit:Orlik est une ville qui existe.

Ah! Hé bien, je me coucherai moins bête ce soir.  Mais la coïncidence est quand même intéressante. Sait-on si Jacobs connaissait ou s'en est-il inspiré pour le nom de l'abomifreux Olrik?

Stéphane vient d'interviewer Christophe Alves sur Alix Mag !

C'est ici :

http://alixmag.canalblog.com/archives/2014/11/19/30990713.html#comments

Une petite interview de présentation

Un peu trop court à mon goût.

Pour le moment, on se rend bien compte que les deux auteurs sont tenus à la réserve par leur éditeur, compte tenu du délai restant avant la parution de cet album.

Un visuel supplémentaire de cette nouvelle histoire (accompagné d'un petit clin d'oeil de référence hergéenne de la part de François Corteggiani ).


http://www.francois-corteggiani.com/article-les-aventures-de-guy-lefranc-125254415.html

Le dessin de cet album est, pour le moment, un des meilleurs de la reprise de Lefranc, à mon avis, pour ne pas dire le meilleur...

Une unique page de ce futur opus...



Pour le reste... il faudra patienter le mois d'octobre (ou novembre...)

Merci pour cet échantillon prometteur !

Belle planche

Des stukas, un U-boat.. ça sent la base arrière des nazis La thématique est lancée..
En tout cas, superbe planche en couleurs très australes

Les Junkers 52 (le type d'avion qu'on voit dans cette planche) ont 1300 kilomètres de rayon d'action. Comment font-ils pour rejoindre l'Allemagne à l'Antarctique (grosso modo près de 15 000 km de distance) ? Sachant surtout qu'ils le font "dans le plus grand secret".

JYB a écrit:Les Junkers 52 (le type d'avion qu'on voit dans cette planche) ont 1300 kilomètres de rayon d'action. Comment font-ils pour rejoindre l'Allemagne à l'Antarctique (grosso modo près de 15 000 km de distance) ? Sachant surtout qu'ils le font "dans le plus grand secret".

Une question : Quelle est la terre la plus proche de l'Antarctique et à combien de distance ?...

Raymond Damned

On pourrait imaginer une base relai en Namibie, ex colonie germanique qui grouille d'extra-terrestres (voir Namibia) mais c'est peut-être encore trop loin ?

Damned a écrit:
Une question : Quelle est la terre la plus proche de l'Antarctique et à combien de distance ?...

La Terre de feu, à l'extrême sud de l'Amérique latine, est la plus proche d'une excroissance du continent antarctique, à savoir la longue presqu'île de Palmer. Environ 1000 km de la pointe sud de la Terre de feu à la pointe nord de la presqu'île de Palmer - ce qui ne veut pas dire de base aérienne à base aérienne.
Mais pour atteindre la Terre de feu depuis l'Allemagne, les Ju 52 devraient d'abord traverser l'Atlantique : soit de Dakar à Natal comme l'ont fait Mermoz et ses copains de l'Aéropostale dans les années 30 (mais c'est impossible pour des Ju 52 avec leur autonomie normale), soit en passant par l'Angleterre, l'Islande, le Groenland, le Canada (ensuite la descente de tout le continent américain, du nord au sud). Pas discret du tout...

Monocle a écrit:On pourrait imaginer une base relai en Namibie, ex colonie germanique qui grouille d'extra-terrestres (voir Namibia) mais c'est peut-être encore trop loin ?

Oui, très loin... Environ 5000 km.
Autre possibilité : Nouvelle-Zélande-Antarctique. Mais c'est au minimum environ 2500 km, de côte à côte. Et la Nouvelle-Zélande, archipel isolé dans le Pacifique sud, pour des Junkers 52 venant d'Europe, faut pouvoir y aller...

JYB a écrit:

Damned a écrit:
Une question : Quelle est la terre la plus proche de l'Antarctique et à combien de distance ?...

La Terre de feu, à l'extrême sud de l'Amérique latine, est la plus proche d'une excroissance du continent antarctique, à savoir la longue presqu'île de Palmer. Environ 1000 km de la pointe sud de la Terre de feu à la pointe nord de la presqu'île de Palmer - ce qui ne veut pas dire de base aérienne à base aérienne.
Mais pour atteindre la Terre de feu depuis l'Allemagne, les Ju 52 devraient d'abord traverser l'Atlantique : soit de Dakar à Natal comme l'ont fait Mermoz et ses copains de l'Aéropostale dans les années 30 (mais c'est impossible pour des Ju 52 avec leur autonomie normale), soit en passant par l'Angleterre, l'Islande, le Groenland, le Canada (ensuite la descente de tout le continent américain, du nord au sud). Pas discret du tout...

Monocle a écrit:On pourrait imaginer une base relai en Namibie, ex colonie germanique qui grouille d'extra-terrestres (voir Namibia) mais c'est peut-être encore trop loin ?

Oui, très loin... Environ 5000 km.
Autre possibilité : Nouvelle-Zélande-Antarctique. Mais c'est au minimum environ 2500 km, de côte à côte. Et la Nouvelle-Zélande, archipel isolé dans le Pacifique sud, pour des Junkers 52 venant d'Europe, faut pouvoir y aller...

D'un autre coté, rien n'empêche d'amener un avion par bateau sur des distances si longues qu'il ne puisse le faire par ses propres moyens !
Tout ne se fait pas toujours par air !
Maintenant tout réside dans l'utilisation que l'on veut en faire ............... Là ?...........

Raymond Damned

On pourrait aussi peut-être utiliser les gros hydravions Dornier DO-X à partir de l’Amérique du sud... Mais, bonjour la discrétion, avec leur 12 moteurs, on devait les entendre de loin. Et un contact avec un pétrolier ravitailleur suivi d'un amerrissage à mi-chemin, cela me semble un peu tordu.

Damned a écrit:D'un autre coté, rien n'empêche d'amener un avion par bateau sur des distances si longues qu'il ne puisse le faire par ses propres moyens !
Tout ne se fait pas toujours par air !

Certes, mais la planche mise en ligne montre trois Ju-52 en vol semblant effectuer ensemble une longue navigation (comme celle qui conduirait les avions d'Allemagne à l'Antarctique selon ce qu'on peut supposer) et surtout, un récitatif précise bien : "gagnant les lieux par voie aérienne". Pas par bateau ! Donc, pour moi, c'est clair : les Ju-52 sont allés là-bas en vol par leurs propres moyens.

Monocle a écrit:On pourrait aussi peut-être utiliser les gros hydravions Dornier DO-X à partir de l’Amérique du sud... Mais, bonjour la discrétion, avec leur 12 moteurs, on devait les entendre de loin. Et un contact avec un pétrolier ravitailleur suivi d'un amerrissage à mi-chemin, cela me semble un peu tordu.

On pourrait, oui. Ou des Focke Wulf 200 "Condor", des patrouilleurs à très long rayon d'action (dont certains ont d'ailleurs été vendus au Brésil avant-guerre ; on se rapproche...). Sauf que ce qu'on voit dans la planche, ce sont des Ju-52. Difficile d'aller contre l'évidence.

Je n'avais pas vu la question de la logistique. Effectivement, sans un navire ou U-boat ravitailleurs,je ne vois pas comment ce type d'avion pourrait effectuer une telle distance eu égard à son autonomie initiale.

JYB a écrit:

Damned a écrit:D'un autre coté, rien n'empêche d'amener un avion par bateau sur des distances si longues qu'il ne puisse le faire par ses propres moyens !
Tout ne se fait pas toujours par air !

Certes, mais la planche mise en ligne montre trois Ju-52 en vol semblant effectuer ensemble une longue navigation (comme celle qui conduirait les avions d'Allemagne à l'Antarctique selon ce qu'on peut supposer) et surtout, un récitatif précise bien : "gagnant les lieux par voie aérienne". Pas par bateau ! Donc, pour moi, c'est clair : les Ju-52 sont allés là-bas en vol par leurs propres moyens.

Certes, et sans rien retirer à ton argumentaire, on ne connait rien de la situation imaginée par l'auteur, ni d'où ils viennent à ce moment de l'histoire ....
Sortie de son contexte une situation donnée peut donner source à toutes les interprétations et, de là, en tirer des conclusions hâtives !
Si, effectivement, par la suite il se trouvait que tu aies eu raison, ce serait alors une vraie improbabilité....

Raymond Damned

Damned a écrit:Si, effectivement, par la suite il se trouvait que tu aies eu raison, ce serait alors une vraie improbabilité....

Eh bien, attendons tranquillement d'en savoir plus.

Sinon, les deux cases (une verticale, l'autre horizontale) de la même planche, où l'on voit des infrastructures allemandes en Antarctique sous la neige : c'est en hiver ou en été ?

Même si Bruno nous a déjà montré cette planche l'autre jour, voici les petits "crobards" de François Corteggiani le scénariste qui constituent toujours pour moi un véritable délice.


http://www.francois-corteggiani.com/article-les-aventures-de-guy-lefranc-125536374.html