Bonsoir à tous
Le graphisme de La Mille et unième nuit s'inspire, du moins au début de la BD, du style oriental, comme si le dessinateur avait voulu nous plonger dans une miniature persane. Puis, nous sommes emmenés dans un univers irréel que le dessin suggère magnifiquement.
Le scénario est un creuset où toutes sortes de genres se sont mélangés : le conte (référence discrète à La Belle et la bête), la fable animalière (l'anthropomorphisme des lions), la mythologie (Shéhérazade, le tapis volant), la Bible (Salomon, Lilith, l'attaque des locustes qui fait penser à une des Dix plaies d'Egypte), etc.. De multiples rebondissements rythment cette aventure, et les chemins des différents personnages se croisent et s'entrecroisent. Je reste réservée car qui trop embrasse mal étreint, et au final, l'histoire manque un peu d'unité et d'émotion.
A découvrir plus pour Vincent Froissard (le dessinateur) que pour Etienne Le Roux (le scénariste).
Bonne soirée
Eléanore
Le graphisme de La Mille et unième nuit s'inspire, du moins au début de la BD, du style oriental, comme si le dessinateur avait voulu nous plonger dans une miniature persane. Puis, nous sommes emmenés dans un univers irréel que le dessin suggère magnifiquement.
Le scénario est un creuset où toutes sortes de genres se sont mélangés : le conte (référence discrète à La Belle et la bête), la fable animalière (l'anthropomorphisme des lions), la mythologie (Shéhérazade, le tapis volant), la Bible (Salomon, Lilith, l'attaque des locustes qui fait penser à une des Dix plaies d'Egypte), etc.. De multiples rebondissements rythment cette aventure, et les chemins des différents personnages se croisent et s'entrecroisent. Je reste réservée car qui trop embrasse mal étreint, et au final, l'histoire manque un peu d'unité et d'émotion.
A découvrir plus pour Vincent Froissard (le dessinateur) que pour Etienne Le Roux (le scénariste).
Bonne soirée
Eléanore