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Personne n'a encore parlé ici de la sortie de la Dernière Conquête. Pourtant, ce nouvel album d'Alix est certainement l'événement du week end ! 
Comme je l'ai déjà dit précédemment dans ce sujet, c'est un plaisir de retrouver une aventure d'Alix dessinée d'une manière très fidèle au modèle martinien. Le récit démarre par ailleurs très bien, et ceci dès la première image, avec un beau paysage et une ambiance poétique. Marc Jailloux semble aimer dessiner ce genre de paysage.
Cette aventure s'inscrit de manière très précise dans l'histoire romaine. On peut même la dater avec précision puisque l'on voit César traverser le Rubicon au début de l'aventure. Il faudra que l'on rediscute de cela avec Jacky Charles car une fois de plus, la chronologie des aventures ne correspond plus avec l'ordre des albums.
Je me garderai sinon de raconter cette aventure qui reprend à nouveau le thème de la quête (je préfère vous laisser découvrir ce récit). Disons simplement qu'Alix et sa petite troupe traversent tout le Moyen Orient pour se rendre aux confins de l'ancienne Perse (et de l'ancien empire d'Alexandre) pour retrouver un anneau mythique. Pendant leur progression, le scénario s'intéresse plus particulièrement aux relations qui vont se tisser entre les différents personnages. D'une manière générale, cette description des rapports humains est "bien sentie".
Notons aussi qu'il y a relativement peu de combats, et que c'est une des seules réserves que j'émettrai sur cette histoire. Pour cette raison, le dénouement du récit me parait finalement un peu "mou". Il n'y a guère que le duel final entre Alix qui évoque une atmosphère belliqueuse, mais cela tourne court. Par ailleurs, malgré sa bravoure, Alix se retrouve assez vite en état de faiblesse ... aïe ... n'en disons pas trop.
Au final, c'est un bien bel album d'Alix que Marc Jailloux nous a dessiné, et on peut vraiment le remercier. Cette BD n'atteint pas encore le niveau des "grands classiques" de Jacques Martin, mais elle témoigne une belle progression depuis la sortie des "Oracles". Et puis, on ne peut que se réjouir qu'Alix soit toujours bien vivant, qu'il ait retrouvé son public, et qu'il soit prêt à s'engager dans de nouvelles aventures. J'attends la suite avec impatience.
Comme je l'ai déjà dit précédemment dans ce sujet, c'est un plaisir de retrouver une aventure d'Alix dessinée d'une manière très fidèle au modèle martinien. Le récit démarre par ailleurs très bien, et ceci dès la première image, avec un beau paysage et une ambiance poétique. Marc Jailloux semble aimer dessiner ce genre de paysage.
Cette aventure s'inscrit de manière très précise dans l'histoire romaine. On peut même la dater avec précision puisque l'on voit César traverser le Rubicon au début de l'aventure. Il faudra que l'on rediscute de cela avec Jacky Charles car une fois de plus, la chronologie des aventures ne correspond plus avec l'ordre des albums.
Je me garderai sinon de raconter cette aventure qui reprend à nouveau le thème de la quête (je préfère vous laisser découvrir ce récit). Disons simplement qu'Alix et sa petite troupe traversent tout le Moyen Orient pour se rendre aux confins de l'ancienne Perse (et de l'ancien empire d'Alexandre) pour retrouver un anneau mythique. Pendant leur progression, le scénario s'intéresse plus particulièrement aux relations qui vont se tisser entre les différents personnages. D'une manière générale, cette description des rapports humains est "bien sentie".
Notons aussi qu'il y a relativement peu de combats, et que c'est une des seules réserves que j'émettrai sur cette histoire. Pour cette raison, le dénouement du récit me parait finalement un peu "mou". Il n'y a guère que le duel final entre Alix qui évoque une atmosphère belliqueuse, mais cela tourne court. Par ailleurs, malgré sa bravoure, Alix se retrouve assez vite en état de faiblesse ... aïe ... n'en disons pas trop.
Au final, c'est un bien bel album d'Alix que Marc Jailloux nous a dessiné, et on peut vraiment le remercier. Cette BD n'atteint pas encore le niveau des "grands classiques" de Jacques Martin, mais elle témoigne une belle progression depuis la sortie des "Oracles". Et puis, on ne peut que se réjouir qu'Alix soit toujours bien vivant, qu'il ait retrouvé son public, et qu'il soit prêt à s'engager dans de nouvelles aventures. J'attends la suite avec impatience.
