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Ah voilà donc le mystère résolu grâce à toi. 
Je vais recopier ces images et me faire un petit dossier des deux versions. Je suis d'autant plus heureux d'avoir pu faire ces comparaisons que tu l'as peut-être remarqué, même dans ce qui s'est conservé au même emplacement de la première à la seconde version, il y a quelques variantes de détail : la tonalité de la mise en couleur. Page 44 par exemple, la peau du héros est plus sombre et la couleur des cieux de la case 2 avec leurs nuées, légèrement différent : mauve et vert dans le premier cas, bleu très légèrement mauve et beige dans la seconde version.
De même, le dessin la fenêtre du petit corps de bâtiment qui s'élève en tourelle à la case 1 est plus détaillée dans la seconde version. En fait dans le premier cas c'est une simple cloison et dans le second une vrai fenêtre comme si l'auteur voulait nous dire que l'univers architectural des Cités obscures s'était lui-même complexifié de certains détails marquant une vie secrète des édifices. Le fait est d'ailleurs que les planches ajoutées dans la seconde version nous proposent d'autres vues de la même cité, comme si celle-ci s'était augmentée d'immeubles et de quartiers inédits. Peut-être par anticipation a posteriori le lien d'Eugen Robik avec le fameux cube a-t-il contribué à ces nouveautés dans un esprit très borgèsien ?
Je vais recopier ces images et me faire un petit dossier des deux versions. Je suis d'autant plus heureux d'avoir pu faire ces comparaisons que tu l'as peut-être remarqué, même dans ce qui s'est conservé au même emplacement de la première à la seconde version, il y a quelques variantes de détail : la tonalité de la mise en couleur. Page 44 par exemple, la peau du héros est plus sombre et la couleur des cieux de la case 2 avec leurs nuées, légèrement différent : mauve et vert dans le premier cas, bleu très légèrement mauve et beige dans la seconde version. De même, le dessin la fenêtre du petit corps de bâtiment qui s'élève en tourelle à la case 1 est plus détaillée dans la seconde version. En fait dans le premier cas c'est une simple cloison et dans le second une vrai fenêtre comme si l'auteur voulait nous dire que l'univers architectural des Cités obscures s'était lui-même complexifié de certains détails marquant une vie secrète des édifices. Le fait est d'ailleurs que les planches ajoutées dans la seconde version nous proposent d'autres vues de la même cité, comme si celle-ci s'était augmentée d'immeubles et de quartiers inédits. Peut-être par anticipation a posteriori le lien d'Eugen Robik avec le fameux cube a-t-il contribué à ces nouveautés dans un esprit très borgèsien ?
). Et puis, c'est parfois dans les vieilles marmites que l'on fait les meilleurs sauces. Mais je ne peux pas m'empêcher de penser que cet ouvrage exploite un peu trop un "fond de commerce" qui a déjà beaucoup été rentabilisé auparavant. 
Tant littéraire que graphique. J'en reparlerai prochainement. Actuellement, je suis en cours de lecture.
