Et nous arrivons en 2014, année pour laquelle je n'ai pas un grand nombre de souvenirs, il faut bien l'avouer. C'est bien souvent le cas lorsque tout se passe bien (les gens heureux n'ont pas d'histoire), mais on pourrait aussi supposer qu'il ne s'est pas non plus passé grand chose cette année-là.
En recherchant un peu mieux dans les archives d'Alix Mag (merci Stéphane), je réalise que le premier événement "martinien" de l'année 2014 fût tout simplement la sortie de Britannia, 33ème aventure d'Alix, au mois de mai.
En fait, ce deuxième album dessiné par Marc Jailloux était d'une qualité presque supérieure au précédent. Le scénario était bien conçu, à la fois riche en actions, en traîtrises ou en combats. Par ailleurs, habitée par des personnages mémorables, comme la séduisante Brecca, l'intrigue était passionnante de bout en bout. Le dessin restait tout aussi remarquable que dans la "Dernière Conquête, et cet album se retrouva assez rapidement en tête des meilleures ventes. Le succès était ainsi complet, aussi bien public que critique.
Il y eu bien sûr diverses séances de dédicaces, ainsi que des éditions à tirage limité qui ont dû combler les espérances de quelques collectionneurs. Je ne m'attarderai pas trop sur ces détails.
Oui ... cela doit bien être cela, finalement, cette amnésie ! Les gens heureux n'ont pas d'histoire.
En recherchant un peu mieux dans les archives d'Alix Mag (merci Stéphane), je réalise que le premier événement "martinien" de l'année 2014 fût tout simplement la sortie de Britannia, 33ème aventure d'Alix, au mois de mai.
En fait, ce deuxième album dessiné par Marc Jailloux était d'une qualité presque supérieure au précédent. Le scénario était bien conçu, à la fois riche en actions, en traîtrises ou en combats. Par ailleurs, habitée par des personnages mémorables, comme la séduisante Brecca, l'intrigue était passionnante de bout en bout. Le dessin restait tout aussi remarquable que dans la "Dernière Conquête, et cet album se retrouva assez rapidement en tête des meilleures ventes. Le succès était ainsi complet, aussi bien public que critique.
Il y eu bien sûr diverses séances de dédicaces, ainsi que des éditions à tirage limité qui ont dû combler les espérances de quelques collectionneurs. Je ne m'attarderai pas trop sur ces détails.
Oui ... cela doit bien être cela, finalement, cette amnésie ! Les gens heureux n'ont pas d'histoire.