Raymond a écrit:Cette fin d'une longue saga est une réussite complète, car elle accorde une large place à la réalité contemporaine de l'Algérie tout en présentant d'une façon un peu nostalgique l'histoire d'une famille pied-noir qui n'arrive pas à oublier la terre de ses origines.
[je souligne ci-dessus]
Ça, c'est le lot de toutes les familles pied-noir.
(Et, en tout cas, également des derniers vieux, qui se souviennent de l'avant 62, quand ils étaient enfants, et qu'il reste encore...)
De ce que j'ai pu feuilleter de ouvrages "algériens" de Ferrandez, j'ai toujours eu le sentiment d'une approche sensible, subtile et mesurée.
Je n'avais pas fait attention au livre de Mohammed Dib illustré par Ferrandez : cela a l'air intéressant (malgré le coup de bambou du prix, après vérification ) ; les illustrations sont très belles. Mohammed Dib était un grand écrivain algérien de langue française.