Vasco de Gilles Chaillet

Et en couleurs, cela donnera ceci :


Prévu le 1er septembre...

Super ! Je l'attends avec impatience, autant qu'un Alix. J'espère que l'éditeur feront une version deluxe.

Le sujet semble bien trouvé, et le dessinateur est toujours le même ! Je m'en réjouis.

En effet, je prévois un mois de rentrée difficile...pour les phynances du bédéphage.

Cette couverture et ce thème me plait beaucoup!...

Avant dernière case de I Pittori où Vasco retrouve une amie de cœur de longue date... et avec le titre de la seconde partie de ce récit

Sublime !

Cet album est en vente en commerce.

Je n'ai pas trouvé ce nouveau Vasco hier en librairie ! Est-il sorti ?

Si si... mais il se peut que certaines librairies ne soient pas encore livrées...

Il semble en tout cas que Sophie soit définitivement devenue une ennemie de Vasco.

Dominique Rousseau donne une tête plus adulte à Vasco Baglioni. Mais son travail me plaît beaucoup.
Pas encore acheté.

C'est vrai que Dominique Rousseau donne une tête plus adulte à Vasco, mais cette histoire se passe 20 ans après "la Byzantine"...
Une belle reprise , je trouve!

Je préfère parler de continuation plutôt que de reprise... Une belle réussite, que "Maître Gilles" n'aurait certainement pas reniée, ayant lui-même intronisé Rousseau.

Soit! Une belle continuation alors!

bruno a écrit:Je préfère parler de continuation plutôt que de reprise... Une belle réussite, que "Maître Gilles" n'aurait certainement pas reniée, ayant lui-même intronisé Rousseau.

Intronisé ? C'est-à-dire ? Rousseau travaillait sur les décors, à l'époque de Chaillet ?..

"Les enfants du Vésuve" a été écrit par Gilles et c'est lui qui a demandé à Dominique Rousseau de commencer à le réaliser, après que ce dernier ait finalisé l'ultime tome de "La Dernière Prophétie".

Okay. J'ai sans doute lu cette information quelque part mais comme d'habitude je l'ai oublié.

L'album du week-end, c'était bien sur I pittori que ... j'ai enfin découvert en librairie ce week-end.  



Comme le titre le suggère, les "peintres" jouent un rôle important dans cette histoire. Toutefois, cette aventure raconte aussi (et surtout) la lutte des banquiers italiens et lombards pour agrandir leur fortune ... et acquérir ainsi plus de pouvoir. Dans ce jeu perfide, Vasco semble assez mal préparé et son oncle le lui fait ironiquement remarquer. Le jeune aventurier ne sera jamais un bon gestionnaire.



C'est ainsi que Lorenzo (le frère aîné) sera désormais le véritable fondé de pouvoir des Tolomeï. Vasco restera responsable de missions secondaires, comme par exemple de trouver  à Florence un peintre de talent capable de couvrir de fresques les murs d'une chapelle, à la manière de Giotto. Investi de cette mission artistique, Vasco nous fait découvrir les ateliers du XVème siècle pour notre plus grand plaisir. Il y rencontre aussi une belle demoiselle, qui semble digne du plus grand amour.



Je n'en dirai pas plus sur l'intrigue de ce diptyque qui n'en est qu'à son début. Chaque personnage poursuit son but et les intérêts s'affrontent. Les intrigues s'entrecroisent et Vasco n'est pas au bout de ses surprises. Les auteurs y glissent au passage quelques clins d'œil, par exemple lorsque réapparait "Giacomo Martini" en personne, capable (comme son modèle) d'avoir de belles crises de colère.



Par ailleurs, tout comme le faisait Gilles Chaillet, le dessinateur multiplie les plans généraux, les décors urbains ou les belles images d'intérieur qui nous transportent dans un Moyen-Âge très vivant. Venise et Florence y apparaissent dans toute leur splendeur passée, et ces petits "tableaux" créent d'agréables pauses au milieu d'une intrigue qui est plutôt pessimiste.



L'aventure n'est bien sûr pas finie (il faudra attendre un an pour découvrir le second tome) mais il me semble que l'on peut déjà considérer cette BD comme une vraie réussite. A la fin du premier tome, les Tolomeï semblent être en mauvaise posture mais j'imagine que Vasco va bientôt confirmer son rôle de héros de la série.

Depuis deux ou trois albums, la série a en tout cas retrouvé tout son lustre, et je recommande donc ce nouvel opus à tous les "martinophiles" (ainsi qu'aux amateurs de BD historiques, bien sûr).

Merci Raymond pour ce mot.

Je ne sais pas pourquoi mais j'étais resté sur l'idée que ce nouvel album était la suite du tome précédent (Les citadelles de sable) Faut que je relise l'ensemble, tenez !

je viens d'acquérir cette bande dessiné j'ai été impressionné par le dessin de Dominique Rousseau qui a fait aussi la dernière prophétie ( La foudre et la croix )

Mais ... bonsoir rbo ! Cela faisait bien longtemps !

oui très longtemps je repasserai pour des occasions d'achat niveau personnel, je vais reprendre ma collection général d'Alix mon héro privilégié