Belles couleurs en effet, comme l'a déjà remarqué Raymond, notamment pour cette séquence de nuit particulièrement réussie.
Je note aussi le découpage plutôt hardi à l'époque pour ce type de série réaliste, qui met à profit le grand format du journal, sur 5 bandes.
Ce Chevalier corsaire, avec son scénario désarçonnant où Frédéri ne joue pas, du moins pour l'instant, un rôle moteur, est vraiment une belle découverte.