Claude Pascal et Léonard de Vinci

Page 20 (avec des couleurs peu soignées) !

Et on découvre maintenant les malheurs du génie incompris ! On n'est pas loin de Turk et De Groot.

Et encore une planche très mal coloriée, beaucoup trop sombre !

C'est tout de même daté.. même si je prends du plaisir à relire cette histoire qui m'avait marquée gamin...

C'est vrai qu'il y a un petit effet "madeleine de Proust".

Ceci dit, les pages actuelles ne sont pas les meilleures.

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Cela redevient un peu plus clair (et lisible) !

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C'est finalement étonnant cette succession d'anecdotes présentées de la sorte...

Le récit devient en effet plus intéressant au moment où Léonard de Vinci explique les régles de base du dessin et de la peinture (perspective etc..). Il est probable que le dessinateur se passionne alors davantage pour ce qu'il fait. Malheureusement, ce n'est qu'un bref passage.

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Il est étonnant également de constater que les personnages sont représentés la bouche fermée avec des expressions quasi similaires à chaque case...
En lisant le pavé sur l'Histoire des Editions Vaillant (que je recommande d'ailleurs), il est question rapidement de Claude Pascal, car il réalisa en 1953 dans la revue Vaillant, une série intitulée Louk chien-loup, sur un scénario au début de Lécureux et ce jusqu'en 1960. Mais il faut bien noté, que cela n'a pas laissé de souvenirs mémorables...

Effectivement, les personnages sont assez statiques. Claude Pascal a privilégié les attitudes "nobles", et c'est peut être une des recettes qui permet au dessinateur de donner à ses pages une belle allure.

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Il n'empêche que ce trait n'est pas mauvais. Avec de bons scénaristes, cet auteur aurait peut être pu s'imposer parmi les grands...

Merci beaucoup Raymond de ces planches qu'on suit avec beaucoup de plaisir

Effectivement ! Il ne lui a manqué qu'un bon scénariste, et une bonne série publiée en album. Claude Pascal avait sinon tous les atouts pour faire une belle carrière.

Page 34 ! La Joconde fait son entrée, enfin !

Aux couleurs déjà "difficiles" se combine, en plus, une impression plus que douteuse dans le journal... ça ne facilite vraiment pas la chose...
C'est vraiment dommage... Néanmoins, je ne boude pas un certain plaisir à cette histoire

La relation amoureuse (entre Vinci et la Joconde) restent assez chastes.

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Léonard devient vieux et il doit affronter Michel-Ange (je ne connaissais pas cette anecdote).

Page 38, avec l'apparition de Raphaël.