Il y a des auteurs dont j'achète régulièrement les albums. Même si s'ils ne font pas toujours des chefs d'oeuvre, je suis rarement déçu par leurs oeuvres car j'ai l'impression que ce qu'ils dessinent m'est destiné. Ils font de la BD sans tricherie, avec professionalisme, sur un ton adulte et honnête, et en respectant certaines exigences. Parmi ces auteurs, il y a Emmanuel Guibert, Pascal Rabaté, David B ou Etienne Davodeau.
C'est à ce dernier que sera consacré ce sujet, à l'occasion de la sortie de son dernier livre intitulé Les Ignorants.
Rappelons d'abord tout de même les petits chefs d'oeuvre que Davodeau a publié depuis une dizaine d'années, comme Un homme est mort, les Mauvaises Gens (son meilleur album à mon goût) ou Le Constat. Ses albums de fiction sont toujours bien conçus mais ce sont tout de même ses reportages qui m'impressionnent le plus. Ils démontrent que l'on peut tout faire avec la BD.
C'est à ce dernier que sera consacré ce sujet, à l'occasion de la sortie de son dernier livre intitulé Les Ignorants.
Rappelons d'abord tout de même les petits chefs d'oeuvre que Davodeau a publié depuis une dizaine d'années, comme Un homme est mort, les Mauvaises Gens (son meilleur album à mon goût) ou Le Constat. Ses albums de fiction sont toujours bien conçus mais ce sont tout de même ses reportages qui m'impressionnent le plus. Ils démontrent que l'on peut tout faire avec la BD.