eleanore-clo a écrit:Raymond a écrit:
Jacques Martin s'écarte de ces scénarios traditionnels. Il imagine la surpopulation du futur, mais envisage que la race humaine a trouvé un autre moyen de la rendre supportable : il suffit d'habiter dans les airs, grâce à l'utilisation d'un certain nombre de découvertes techniques. Ce procédé permet à la race humaine de continuer son expansion de manière presque infinie dans un "espace clos" (la terre).
L'écrivain étasunien de science-fiction, Robert Silverberg, a imaginé un univers très voisin de celui de L'Apocalypse dans Les monades urbaines (The World Inside - 1970). La surpopulation de la Terre impose de désurbaniser les sols agricoles. D'immenses tours de 1000 étages et abritant chacune 800 000 habitants surplombent une étendue quasiment infinie de champs cultivés.
Eléanore
Belle trouvaille, eleanore !
Je n'ai pas lu ce roman de Silverberg, qui est un excellent romancier au demeurant, mais j'imagine qu'il n'est pas aussi effrayant que l'Apocalypse, car Jacques Martin imagine une quasi disparition de ce qui définit l'être humain.