Je reviens sur ce sujet pour parler d'une publication qui n'a connu que quatre numéros et qui, curieusement, ne figure pas dans la liste des "revues modernes" recensées par le BDM.
"Bandes Dessinées Internationales" apparut dans les kiosques au mois de juillet 2004, et, alors que le numéro du mois d'octobre annonçait un numéro en novembre, ce dernier ne sortit pas mettant fin brusquement à ce titre.
Ce magazine comportait 74 pages sans aucune publicité et était dirigé par Boris Billia.
Le contenu du premier numéro était composé ainsi : des bandes quotidiennes issues pour une large part d'Outre-Atlantique (donald, le petit Roi, la famille illico, blondie, le père lacloche, pim-pam-poum, spooky), la série anglaise Andy Capp, des historiettes de Luca Novelli, mais aussi Pif le chien, des histoires de Claire Bretécher (+ une interview) et une bande dessinée de Caran d'Ache.
Les numéros suivants suivront la plupart des mêmes personnages.
La partie rédactionnelle s'attachait à retracer la genèse des différentes séries américaines présentées.
En définitive, une initiative qui ne pouvait séduire que quelques incorrigibles dans mon genre, mordus de l'Histoire de la Bande Dessinée, mais, hélas, trop peu nombreux pour assurer la perennité de cette entreprise.
"Bandes Dessinées Internationales" apparut dans les kiosques au mois de juillet 2004, et, alors que le numéro du mois d'octobre annonçait un numéro en novembre, ce dernier ne sortit pas mettant fin brusquement à ce titre.
Ce magazine comportait 74 pages sans aucune publicité et était dirigé par Boris Billia.
Le contenu du premier numéro était composé ainsi : des bandes quotidiennes issues pour une large part d'Outre-Atlantique (donald, le petit Roi, la famille illico, blondie, le père lacloche, pim-pam-poum, spooky), la série anglaise Andy Capp, des historiettes de Luca Novelli, mais aussi Pif le chien, des histoires de Claire Bretécher (+ une interview) et une bande dessinée de Caran d'Ache.
Les numéros suivants suivront la plupart des mêmes personnages.
La partie rédactionnelle s'attachait à retracer la genèse des différentes séries américaines présentées.
En définitive, une initiative qui ne pouvait séduire que quelques incorrigibles dans mon genre, mordus de l'Histoire de la Bande Dessinée, mais, hélas, trop peu nombreux pour assurer la perennité de cette entreprise.