En dehors du dernier Titeuf, il n'y avait pas de nouveauté sensationnelle pendant ce week-end. C'était donc la bonne occasion pour s'intéresser à Arelate, une BD très sérieuse qui raconte la vie des gens à l'époque de l'Empire Romain. Trois albums sont déjà parus, et ils ont été rassemblés dans un gros volume qui est intitulé "Premier cycle".
Arelate est en fait le nom latin de la ville d'Arles. Laurent Sieurac nous y raconte la vie d'un citoyen romain qui, à cause de ses dettes, est obligé de devenir un gladiateur. Ceci permet à l'auteur de montrer la vie quotidienne des ces hommes d'arme sur lesquels nous avons quelques idées fausses. Il faut préciser que Sieurac travaille avec l'aide d'un historien nommé Alain Genot. Ce dernier est crédité comme co-scénariste et conseiller historique, et l'aspect sérieux (et presque documentaire) de cette BD m'a laissé une belle impression.
Le dessin est tout aussi réaliste que le scénario, et le dessinateur recherche manifestement l'efficacité plutôt que le spectaculaire. Vous remarquerez au passage que les planches sont ornées de teintes sépia, et que ce choix de la bichromie donne à Arelate un style encore plus singulier.
A mon avis, c'est une BD qui plaira surtout aux fans d'histoire romaine, mais les amateurs d'Alix pourraient aussi s'y intéresser.
Arelate est en fait le nom latin de la ville d'Arles. Laurent Sieurac nous y raconte la vie d'un citoyen romain qui, à cause de ses dettes, est obligé de devenir un gladiateur. Ceci permet à l'auteur de montrer la vie quotidienne des ces hommes d'arme sur lesquels nous avons quelques idées fausses. Il faut préciser que Sieurac travaille avec l'aide d'un historien nommé Alain Genot. Ce dernier est crédité comme co-scénariste et conseiller historique, et l'aspect sérieux (et presque documentaire) de cette BD m'a laissé une belle impression.
Le dessin est tout aussi réaliste que le scénario, et le dessinateur recherche manifestement l'efficacité plutôt que le spectaculaire. Vous remarquerez au passage que les planches sont ornées de teintes sépia, et que ce choix de la bichromie donne à Arelate un style encore plus singulier.
A mon avis, c'est une BD qui plaira surtout aux fans d'histoire romaine, mais les amateurs d'Alix pourraient aussi s'y intéresser.