Que ce travail ait été fait "avec intelligence", c''était la moindre des choses, me semble-t-il, pour le prix demandé.
Pour autant, pourquoi avoir choisi cette histoire pour laquelle Franquin lui-même n'éprouvait pas (le mot est faible) un grand attachement ?
Dans le magnifique et célèbre livre d'entretiens "Et Franquin créa la Gaffe", en évoquant ce récit, page 124 de cet ouvrage, il confie à Numa Sadoul " ... Et nous arrivons à cette histoire qui, elle, est vraiment moche [...] Elle est moche, d'abord parce que j'ai dû la raccourcir pour la parution dans le journal; ensuite, parce que le petit japonais du début était dans mon esprit, un "bon", et j'ai changé d'avis, j'en ai fait un "mauvais", pour ensuite retomber sur mes pattes et le faire redevenir bon... "
Quant à la "reprise de la pagination primitive" du Journal Spirou, ce n'est pas une initiative inédite, Frédéric Niffle l'avait déjà reproduite en 2002 dans son Intégrale 5 de Spirou et Fantasio.
Pour autant, pourquoi avoir choisi cette histoire pour laquelle Franquin lui-même n'éprouvait pas (le mot est faible) un grand attachement ?
Dans le magnifique et célèbre livre d'entretiens "Et Franquin créa la Gaffe", en évoquant ce récit, page 124 de cet ouvrage, il confie à Numa Sadoul " ... Et nous arrivons à cette histoire qui, elle, est vraiment moche [...] Elle est moche, d'abord parce que j'ai dû la raccourcir pour la parution dans le journal; ensuite, parce que le petit japonais du début était dans mon esprit, un "bon", et j'ai changé d'avis, j'en ai fait un "mauvais", pour ensuite retomber sur mes pattes et le faire redevenir bon... "
Quant à la "reprise de la pagination primitive" du Journal Spirou, ce n'est pas une initiative inédite, Frédéric Niffle l'avait déjà reproduite en 2002 dans son Intégrale 5 de Spirou et Fantasio.