Damned a écrit:
Rien de bien nouveau : Simplement l'article standard pour promouvoir une nouveauté !
On peut même douter que l'auteur ait lu cette histoire, du moins son texte, s'il a lu cette aventure, ne le laisse pas vraiment penser....
Raymond Damned
Entièrement d'accord avec toi, Damned !!!
C'est rarissime quand on lit une critique négative sur ce genre de site, surtout en plus pour une production de chez Média-Participations (le poids lourd dans le secteur de l'édition), sinon, ils risqueraient de scier la branche sur laquelle ils sont assis et de voir toutes les portes se fermer devant eux !!!
Raymond a écrit:
Hem ! Je vais jeter le pavé dans la mare ...
J'ai donc découvert ce WE le nouveau Buck Danny qui, certes, n'est pas génial, mais qui me semble tout de même très lisible. Je n'ai pas trouvé le scénario grotesque, même si j'admets que le scénariste prend beaucoup de libertés avec la vérité historique (intervention improbable des russes etc ... ).
Quant au duel aérien, il faut que l'on m'explique pourquoi il est débile. L'idée que le pilote d'un avion moins performant cherche les points faibles du chasseur adverse n'est pas si sotte. C'est le fil principal du récit et il me parait assez bien trouvé !
Je trouve donc ce diptyque plutôt moyen. Certes, Zumbiehl n'est pas un grand raconteur d'histoires, mais il n'est pas facile de succéder à Jean-Michel Charlier. Son scénario n'est en fait ni passionnant, ni enthousiasmant, et si on le lit sans idée préconçue, il se situe dans la moyenne de beaucoup d'albums actuels. Quant à Arroyo, il fait très bien son travail, même si on découvre parfois quelques inconstances dans le visage des personnages. L'ensemble est ainsi assez correct, sans plus.
Il n'y a en tout cas pas de quoi s'indigner !
Damned a déjà répondu pour le duel aérien.
Quand tu dis que l'histoire n'est ni passionnante, ni enthousiasmante, que reste-t-il exactement à sauver du travail scénaristique de Zumbielh ?
Et ce n'est pas parce que la majorité de la production actuelle est de la daube, qu'on doit nécessairement se mettre au même niveau, le problème ici, c'est qu'on a la chance de pouvoir comparer avec le créateur originel qui était passé maître dans l'art du scénario.
Et pour paraphraser une célèbre pub pour une marque de lessive, je n'échangerai pas un album de JMC contre 10 albums de Zumbielh !!!