Une chose est certaine : à partir de la Camarilla, le dessin de Gilles Chaillet est en net déclin. Ce phénomène s'explique peut être par le fait que Jacques Martin (devenu très malvoyant en 1997) n'avait plus les moyens visuels de contrôler le travail de son dessinateur. Auparavant, il n'hésitait pas à corriger (et à faire recommencer) ce qui ne lui plaisait pas. Par ailleurs, on constate dans les albums de Vasco (la série personnelle de Gilles Chaillet) le même affaiblissement graphique, et ce n'est donc pas un déclin qui est propre à Lefranc.
On peut avancer diverses explications sur cette évolution du dessin de Chaillet. Elle est peut être liée au fait que le dessinateur travaillait beaucoup. Chaillet a aussi déclaré dans certaines interviews (je ne sais plus où) qu'il souffrait d'une tendinite au poignet qui l'avait beaucoup handicapé dans son travail. Cette maladie a certainement joué un rôle important par rapport à la qualité insatisfaisante de certains albums.
Quoiqu'il en soit, ce déclin graphique a beaucoup déçu les fans de l'époque, et c'est une des raisons pour lesquelles Chaillet a fini par abandonner la série.
Par rapport au scénario, j'ai déjà exprimé mon avis et je en peux que me répéter. C'est une bonne histoire à laquelle il manque un "petit quelque chose" pour être pleinement convaincante. Peut être que si Jacques Martin avait encore été en pleine possession de tous ses moyens à cette époque, il aurait eu l'énergie de corriger ces petits détails qui gâchent un peu l'ensemble.
On peut avancer diverses explications sur cette évolution du dessin de Chaillet. Elle est peut être liée au fait que le dessinateur travaillait beaucoup. Chaillet a aussi déclaré dans certaines interviews (je ne sais plus où) qu'il souffrait d'une tendinite au poignet qui l'avait beaucoup handicapé dans son travail. Cette maladie a certainement joué un rôle important par rapport à la qualité insatisfaisante de certains albums.
Quoiqu'il en soit, ce déclin graphique a beaucoup déçu les fans de l'époque, et c'est une des raisons pour lesquelles Chaillet a fini par abandonner la série.
Par rapport au scénario, j'ai déjà exprimé mon avis et je en peux que me répéter. C'est une bonne histoire à laquelle il manque un "petit quelque chose" pour être pleinement convaincante. Peut être que si Jacques Martin avait encore été en pleine possession de tous ses moyens à cette époque, il aurait eu l'énergie de corriger ces petits détails qui gâchent un peu l'ensemble.
