Bonsoir
J'ai lu tardivement l'Ouragan de feu, probablement vers 2015. C'est une belle histoire qui m'a surtout séduite par les scènes ayant pour cadre le Mont Saint-Michel.
Mais, vous allez rire, cette œuvre évoque pour moi la quête du Graal ! Des propos bien mystérieux me direz-vous ? Je vais donc profiter de cette œuvre pour évoquer une autre problématique des 50 ans avec Jacques Martin, connexe mais tout aussi importante pour le bédéphile... Raymond a déjà évoqué plus haut dans ce fil la raréfaction ou l'absence des albums. Je souhaite aujourd'hui traité du sujet de la recherche de la plus belle édition. Et L'Ouragan de Feu illustre à merveille mon propos.
J'ai donc découvert la BD avec l'édition standard de Casterman .
Puis, soucieuse de trouver de plus belles couleurs, je me suis lancé dans l'achat de l'édition originale. De mémoire, le BDM insiste sur la très belle qualité de cette édition. Sauf... sauf... sauf que les techniques d'imprimerie n'étaient pas celles d'aujourd'hui, et que la lectrice (le lecteur) peut observer des décalages de couleur lors des passages successifs .
Du coup, je me suis rabattue sur l'édition anniversaire, publiée en 2006. Mais tout n'y est pas parfait. Elle manque de brillance .
Du coup, peut être un jour achèterais-je l'édition Hennebelle. Sauf que son format ne lui permet pas de rentrer dans ma bibliothèque . Et que son prix la met en compétition avec le dernier chemisier d'Anne Fontaine ! Je vais donc croiser les doigts pour que le remarquable travail de cet éditeur soit intégré dans le fond Casterman et mis à la disposition de toutes(tous).
Derrière tous mes caprices, je souhaiterais savoir si Jacques Martin attachait une grande importance à la colorisation de ses albums ? Stéphane et Raymond, en avez-vous un jour discuter avec lui ? Et d'ailleurs, qui assurait ce travail ? Qui fut la Josette Baujot du maître ?
Bien cordialement
Eléanore
Raymond a écrit:En 1975, ....
... l'événement martinien de cette année-là fût sans aucun doute la sortie de l'album le plus introuvable du maître, et une rareté que je désespérai d'acquérir un jour. La réédition de l'Ouragan de Feu était une vraie bénédiction.
J'ai lu tardivement l'Ouragan de feu, probablement vers 2015. C'est une belle histoire qui m'a surtout séduite par les scènes ayant pour cadre le Mont Saint-Michel.
Mais, vous allez rire, cette œuvre évoque pour moi la quête du Graal ! Des propos bien mystérieux me direz-vous ? Je vais donc profiter de cette œuvre pour évoquer une autre problématique des 50 ans avec Jacques Martin, connexe mais tout aussi importante pour le bédéphile... Raymond a déjà évoqué plus haut dans ce fil la raréfaction ou l'absence des albums. Je souhaite aujourd'hui traité du sujet de la recherche de la plus belle édition. Et L'Ouragan de Feu illustre à merveille mon propos.
J'ai donc découvert la BD avec l'édition standard de Casterman .
Puis, soucieuse de trouver de plus belles couleurs, je me suis lancé dans l'achat de l'édition originale. De mémoire, le BDM insiste sur la très belle qualité de cette édition. Sauf... sauf... sauf que les techniques d'imprimerie n'étaient pas celles d'aujourd'hui, et que la lectrice (le lecteur) peut observer des décalages de couleur lors des passages successifs .
Du coup, je me suis rabattue sur l'édition anniversaire, publiée en 2006. Mais tout n'y est pas parfait. Elle manque de brillance .
Du coup, peut être un jour achèterais-je l'édition Hennebelle. Sauf que son format ne lui permet pas de rentrer dans ma bibliothèque . Et que son prix la met en compétition avec le dernier chemisier d'Anne Fontaine ! Je vais donc croiser les doigts pour que le remarquable travail de cet éditeur soit intégré dans le fond Casterman et mis à la disposition de toutes(tous).
Derrière tous mes caprices, je souhaiterais savoir si Jacques Martin attachait une grande importance à la colorisation de ses albums ? Stéphane et Raymond, en avez-vous un jour discuter avec lui ? Et d'ailleurs, qui assurait ce travail ? Qui fut la Josette Baujot du maître ?
Bien cordialement
Eléanore