Parlons donc des BD d'aujourd'hui !
Lorsque Camille, ma fille cadette, m'a offert l'intégrale des 2 tomes d'Abélard lors de la fête de Noël 2015, j'étais un peu perplexe. Je n'avais pas vraiment été séduit par les œuvres de Renaud Dillies auparavant, et je ne savais que penser de ce cadeau.
J'aurais dû me souvenir que Camille ne fait jamais les choses au hasard. Elle m'avait fait ce présent parce qu'elle avait adoré cette œuvre, et elle supposait que je serai à la hauteur des circonstances (en lisant cette BD).
Quelques semaines après, j'ai fini par lire ce bouquin et .... il s'est passé un moment merveilleux.
Abélard est un jeune oiseau (c'est une BD animalière) qui part à l'aventure, travers le vaste monde, pour conquérir la lune. Il n'y arrivera pas, bien sûr, car Abélard est avant tout un naïf, mais la pureté de cette quête est émouvante. Et puis, il y a cette fin magnifique, que je m'abstiendrai d'expliquer (il vous faudra lire le livre) et qui a déclenché un grand frisson de bonheur. Je ne sais pas si c'était de l'admiration, ou de la nostalgie, ou tout simplement de l'émerveillement, mais j'avais une fois de plus la preuve que la BD est un art.
La BD artistique avait encore frappé !
Lorsque Camille, ma fille cadette, m'a offert l'intégrale des 2 tomes d'Abélard lors de la fête de Noël 2015, j'étais un peu perplexe. Je n'avais pas vraiment été séduit par les œuvres de Renaud Dillies auparavant, et je ne savais que penser de ce cadeau.
J'aurais dû me souvenir que Camille ne fait jamais les choses au hasard. Elle m'avait fait ce présent parce qu'elle avait adoré cette œuvre, et elle supposait que je serai à la hauteur des circonstances (en lisant cette BD).
Quelques semaines après, j'ai fini par lire ce bouquin et .... il s'est passé un moment merveilleux.
Abélard est un jeune oiseau (c'est une BD animalière) qui part à l'aventure, travers le vaste monde, pour conquérir la lune. Il n'y arrivera pas, bien sûr, car Abélard est avant tout un naïf, mais la pureté de cette quête est émouvante. Et puis, il y a cette fin magnifique, que je m'abstiendrai d'expliquer (il vous faudra lire le livre) et qui a déclenché un grand frisson de bonheur. Je ne sais pas si c'était de l'admiration, ou de la nostalgie, ou tout simplement de l'émerveillement, mais j'avais une fois de plus la preuve que la BD est un art.
La BD artistique avait encore frappé !