Je connais assez mal l'oeuvre de Sirius (je dois avoir une douzaine de Timour, surtout du début, pas en eo, plus trois Pemberton), mais j'ai l'impression que même l'Epervier Bleu, sur le tard, avait un côté parodique qui se dessinait. Ses personnages de Simon le danseur et Pemberton (avec son cousin Penterghast) semblent confirmer cette tendance.
A partir d'un certain moment, l'évolution artistique de Sirius était quasiment prévisible. Une des caractéristiques de ses récits semblait être une orientation de plus en plus franche vers l'humour et l'autodérision. Et cela se traduisait aussi dans sa façon de dessiner, je trouve.