Quelque part, est-ce que l'on retombe alors pas sur la question du destinataire de l'histoire, du lecteur imaginaire pour lequel le scénario a été écrit. De mon point de vue, Corentin est destiné à un public plus jeune (et donc moins sensible en termes de vraisemblance, plus perméable au merveilleux et aux ficelles dramatiques ténues) que celui d'Alix. Et c'est ce décalage qui, comme tu le dis Raymond, désarçonne l'Alixophile et ne lui donne pas entière satisfaction.
En tout cas, cela m'a donné envie de lire cette histoire.
Autrement, la lecture du passage de Jacky-Charles sur les Phéniciens me fait me poser une question plus large : ils forment souvent dans les albums d'Alix la clique d'antagonistes, de "méchants". Une analyse plus approfondie de leur représentation a-t-elle déjà été évoquée dans l'un de vos discussions ? L'on pourrait d'ailleurs s'interroger sur une analyse transverse des grands peuples de l'Antiquité tels qu'ils apparaissent chez Jacques Martin : Romains, Grecs, Gaulois, Égyptiens, Phéniciens, Parthes et Germains pour ne citer que ceux-ci. Au-delà des cas individuels de personnages, est-ce que des tendances fortes se dégagent quant à leur rôle ou leur représentation dans les histoires d'Alix ?
En tout cas, cela m'a donné envie de lire cette histoire.
Autrement, la lecture du passage de Jacky-Charles sur les Phéniciens me fait me poser une question plus large : ils forment souvent dans les albums d'Alix la clique d'antagonistes, de "méchants". Une analyse plus approfondie de leur représentation a-t-elle déjà été évoquée dans l'un de vos discussions ? L'on pourrait d'ailleurs s'interroger sur une analyse transverse des grands peuples de l'Antiquité tels qu'ils apparaissent chez Jacques Martin : Romains, Grecs, Gaulois, Égyptiens, Phéniciens, Parthes et Germains pour ne citer que ceux-ci. Au-delà des cas individuels de personnages, est-ce que des tendances fortes se dégagent quant à leur rôle ou leur représentation dans les histoires d'Alix ?