Arbacès a connu des fortunes diverses au cours des années dans l'univers d'Alix.
1) L'INDISPENSABLE : au cours des 4 premiers albums, il est omniprésent. Presque toutes les intrigues tournent autour d'Arbacès, de ses entreprises et de ses rêves de puissance. On peut le considérer comme un véritable Olrik, fascinant, redoutable, ingénieux et sans scrupule.
2) L'EXCOMMUNICATION (si j'ose dire): après sa chute apparement mortelle du haut du barrage de Zur Bakal, Arbacès disparait complètement de l'univers d'Alix. Jacques Martin répète par ailleurs à plusieurs reprises dans ses interviews qu'il ne veut plus de ce personnage qui fait de l'ombre à son héros. La vedette doit rester Alix !
3) LA NOSTALGIE : à partir du Fils de Spartacus, l'auteur cherche de nouveaux adversaires qui aient l'envergure de son héros et il fait intervenir les frères d'Arbacès. On découvre d'abord Ardeles, qui est plutôt vil et qui meurt à la fin de l'histoire, puis Adrocles dans la Tour de Babel, plus intelligent et énigmatique mais lui aussi n'est qu'une réplique bien pâle de son frère.
4) LA RESURECTION : Dans la Chute d'Icare, Alix retrouve soudain Arbacès en tant que chef des pirates qui assiègent la ville. On ne sait pas comment il a échappé à la mort et la question a peu d'importance. Ce qui compte, c'est qu'Alix affronte de nouveau un adversaire impitoyable et inventif, capable de rebondir dans les plus difficiles situations. On a revu ensuite un Arbacès tout aussi retord dans C'était à Khorsabad, et ce n'est probablement pas fini.
Mais dans le fonds, souhaitez vous revoir éternellement ce personnage ?
Quand j'y pense, Arbacès est absent des meilleurs albums d'Alix (entre la Griffe Noire et le Prince du Nil).
Tiens, cela me donne envie de voter "jamais".
1) L'INDISPENSABLE : au cours des 4 premiers albums, il est omniprésent. Presque toutes les intrigues tournent autour d'Arbacès, de ses entreprises et de ses rêves de puissance. On peut le considérer comme un véritable Olrik, fascinant, redoutable, ingénieux et sans scrupule.
2) L'EXCOMMUNICATION (si j'ose dire): après sa chute apparement mortelle du haut du barrage de Zur Bakal, Arbacès disparait complètement de l'univers d'Alix. Jacques Martin répète par ailleurs à plusieurs reprises dans ses interviews qu'il ne veut plus de ce personnage qui fait de l'ombre à son héros. La vedette doit rester Alix !
3) LA NOSTALGIE : à partir du Fils de Spartacus, l'auteur cherche de nouveaux adversaires qui aient l'envergure de son héros et il fait intervenir les frères d'Arbacès. On découvre d'abord Ardeles, qui est plutôt vil et qui meurt à la fin de l'histoire, puis Adrocles dans la Tour de Babel, plus intelligent et énigmatique mais lui aussi n'est qu'une réplique bien pâle de son frère.
4) LA RESURECTION : Dans la Chute d'Icare, Alix retrouve soudain Arbacès en tant que chef des pirates qui assiègent la ville. On ne sait pas comment il a échappé à la mort et la question a peu d'importance. Ce qui compte, c'est qu'Alix affronte de nouveau un adversaire impitoyable et inventif, capable de rebondir dans les plus difficiles situations. On a revu ensuite un Arbacès tout aussi retord dans C'était à Khorsabad, et ce n'est probablement pas fini.
Mais dans le fonds, souhaitez vous revoir éternellement ce personnage ?
Quand j'y pense, Arbacès est absent des meilleurs albums d'Alix (entre la Griffe Noire et le Prince du Nil).
Tiens, cela me donne envie de voter "jamais".