Dans la série :"Je dis ce que je fais et je fais ce que je dis " voici maintenant ...
mais non ! Ce n'est pas Orphan Annie
Oui elle y ressemble
C'est Die Waise Adelheid ! Tochter von Tobias . de Maienfeld (GR)
Le canton des Grisons ( en romanche Grischun) est le plus grand et le plus oriental des cantons de Suisse.
C'est le seul canton suisse trilingue (allemand, italien, romanche) et le seul où est parlé le romanche.
Wiki dit :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Heidi_(roman)
Ha!
La toute premiére couv. de la toute premiére édition du roman (1880)
Passons aux BD puisque vous êtes venus pour ça !
F. Craenhals
Heïdi a grandi et, au fil des saisons, la petite fille s’en est allée…
Heïdi au printemps est une métaphore pour parler de tous - et peut-être de soi - à travers une figure mythique des alpages suisses. Si la question mériterait d’être posée à Marie Spénale de savoir pourquoi s’intéresser à une héroïne immortalisée au cinéma par Luigi Comencini en 1952 ou plus récemment par Isao Takahata en 1974 pour s’entretenir d’adolescence avec des lecteurs(trices) probablement né(e)s après 1990, la réponse n’est - au demeurant - pas fondamentale pour apprécier ce joli album.
Avec un dessin aux effets de ligne claire et une mise en couleurs toute en aplats, cette Heidi-là pourrait s’adresser - de prime abord - aux plus jeunes. Les éditions Delcourt ne s’y sont pas trompées et ont tenu à mettre les choses au clair avec un sticker des plus explicites. Toutefois, pas de quoi se relever la nuit pour un public adolescent qui en a certainement déjà vu d’autres.
Heïdi n’est plus une enfant et voit désormais le monde qui l’entoure avec un regard nouveau et des envies différentes. Le désir qu’elle découvre en elle, l’aspiration à vivre ailleurs, autre chose et autrement sont mis en scène avec une spontanéité, une simplicité et un naturel qui n’ont rien de perturbant et encore moins de choquant. Reprenant une histoire connue, Marie Spénale en livre une suite en variations toutes personnelles et sait évoquer avec douceur, voire un brin d’humour et d’idéalisme, une période de la vie souvent troublée par de nombreuses incertitudes et contradictions.
Délicat, un rien naïf, Heïdi au printemps dépeint une manière idéalisée et pleine de fraîcheur de vivre son adolescence !
Par S. Salin
La couverture d'une des premiéres éditions françaises :
Pour les aveugles , le livre-audio avec comme couv. l'affiche du film avec Shirley Temple :
Et les BD ?
-Tout le reste c'est de la japoniaiserie !
Ouais!
M. Bernard Cosendai pourtant grand dessinateur "d'alpages" n'a pas été tenté d'helvétiser par là !
Mme Margaux Kindhauser a préféré les 4 filles du Dr March à sa petite compatriote !
Et aprés on dira que les suisses sont chauvins !
Donc des nippons (ni mauvais) un peu plus tard
mais non ! Ce n'est pas Orphan Annie
Oui elle y ressemble
C'est Die Waise Adelheid ! Tochter von Tobias . de Maienfeld (GR)
Le canton des Grisons ( en romanche Grischun) est le plus grand et le plus oriental des cantons de Suisse.
C'est le seul canton suisse trilingue (allemand, italien, romanche) et le seul où est parlé le romanche.
Wiki dit :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Heidi_(roman)
Ha!
La toute premiére couv. de la toute premiére édition du roman (1880)
Passons aux BD puisque vous êtes venus pour ça !
F. Craenhals
Heïdi a grandi et, au fil des saisons, la petite fille s’en est allée…
Heïdi au printemps est une métaphore pour parler de tous - et peut-être de soi - à travers une figure mythique des alpages suisses. Si la question mériterait d’être posée à Marie Spénale de savoir pourquoi s’intéresser à une héroïne immortalisée au cinéma par Luigi Comencini en 1952 ou plus récemment par Isao Takahata en 1974 pour s’entretenir d’adolescence avec des lecteurs(trices) probablement né(e)s après 1990, la réponse n’est - au demeurant - pas fondamentale pour apprécier ce joli album.
Avec un dessin aux effets de ligne claire et une mise en couleurs toute en aplats, cette Heidi-là pourrait s’adresser - de prime abord - aux plus jeunes. Les éditions Delcourt ne s’y sont pas trompées et ont tenu à mettre les choses au clair avec un sticker des plus explicites. Toutefois, pas de quoi se relever la nuit pour un public adolescent qui en a certainement déjà vu d’autres.
Heïdi n’est plus une enfant et voit désormais le monde qui l’entoure avec un regard nouveau et des envies différentes. Le désir qu’elle découvre en elle, l’aspiration à vivre ailleurs, autre chose et autrement sont mis en scène avec une spontanéité, une simplicité et un naturel qui n’ont rien de perturbant et encore moins de choquant. Reprenant une histoire connue, Marie Spénale en livre une suite en variations toutes personnelles et sait évoquer avec douceur, voire un brin d’humour et d’idéalisme, une période de la vie souvent troublée par de nombreuses incertitudes et contradictions.
Délicat, un rien naïf, Heïdi au printemps dépeint une manière idéalisée et pleine de fraîcheur de vivre son adolescence !
Par S. Salin
La couverture d'une des premiéres éditions françaises :
Pour les aveugles , le livre-audio avec comme couv. l'affiche du film avec Shirley Temple :
Et les BD ?
-Tout le reste c'est de la japoniaiserie !
Ouais!
M. Bernard Cosendai pourtant grand dessinateur "d'alpages" n'a pas été tenté d'helvétiser par là !
Mme Margaux Kindhauser a préféré les 4 filles du Dr March à sa petite compatriote !
Et aprés on dira que les suisses sont chauvins !
Donc des nippons (ni mauvais) un peu plus tard