Lefranc, Alix, Jhen ... et les autres
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Le Deal du moment : -15%
(Adhérents) LEGO® Icons 10318 Le Concorde
Voir le deal
169.99 €

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

Roger Leloup le perfectionniste

+20
2J
Loup79
bryaxis
fleng
marbou
kiko
arne
Fildefer
eleanore-clo
JYB
Erik A
Totoche Tannenen
stephane
bruno
FANTOMIALD
Claude
Lion de Lisbonne
Raymond
Damned
Ethan
24 participants

Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5, 6, 7

Aller en bas  Message [Page 7 sur 7]

eleanore-clo

eleanore-clo
vieux sage
vieux sage

Kimono a écrit:Comme le disait quelqu'un d'autre dans une page précédente (désolé, pas trop le temps de les relire toutes), j'ai une nette préférence pour les albums "terriens" de Roger Leloup.

Raymond a écrit:Je préfère aussi les albums "terriens" de Yoko Tsuno et je l'ai déjà écrit dans les pages précédentes.   Wink

Voilà un sujet qui mérite de s'y arrêter  Very Happy . Quels sont les lieux les plus propices à l'épanouissement de la série ? Le Japon ? Vinéa ? L'Allemagne ? L'Ecosse. Je vous propose de partager ma vision.

Déjà, à mon sens, la série n'a qu'un rapport lointain avec le Japon. Pour avoir vécu à Tokyo, les nippones, du moins les habitantes de la mégalopole, n'ont pas la même culture que l'héroïne de Leloup. Par exemple, elles sont moins expansives. Et je parle pas des épouses dont la vie professionnelle change du tout au tout car certains métiers ne sont pas "convenables". Aussi, j'imagine mal une électronicienne de chic et de choc dans le monde réel. En fait, Yoko Tsuno est un condensé de cartes postales, une japonaise rêvée et idéale. Le tempérament de la jeune femme me fait beaucoup plus penser à une européenne. Et son émancipation est celle des habitantes du vieux continent. Partant de ce constat, l'auteur prend davantage ses aises sous nos latitudes.

Si la série ne se rattache pas au monde nippon, peut-on dire qu'elle relève du genre de la science-fiction, et uniquement de celui-ci ? Or, l'auteur jongle manifestement entre deux esthétiques, celle futuriste de Vinéa, et celle romantique de Rothenburg ou du château de Glamis. Aussi, les scénarios successifs se nourrissent de ses deux influences. Néanmoins et vu de ma chapelle, les engins futuristes descendant du Carreidas 160 n'ont pas la même substance, la même puissance évocatrice que les superbes décors médiévaux ou renaissances reconstitués avec tant de passion et d'amour. Et le réalisme des décors induit une vraisemblance narrative et une "émotionnalité" beaucoup plus grande. Les recours à  la science-fiction et à la facilité d'une technologie toute puissante fragilisent les scénarios. Les Deus ex machina se répètent par trop souvent, rendant prévisibles et ennuyeuses les intrigues. Et je préfère la crédibilité du sang artificiel de La frontière de la vie à l’invraisemblance des torrents de lave de La Forge de vulcain. Au final, la série ne me semble donc pas très à l'aise, tant du côté de l'Extrême-Orient ou que du côté du Cosmos. Du coup, selon mon goût, les meilleurs albums de Yoko Tsuno sont ceux européens.

Après la série est ancienne et de nombreux ouvrages ont adopté le vieux continent comme décor. Comment les discriminer ? Clairement, la qualité graphique a évolué, année après année. A l'instar du trait de Lambil, celui de Leloup s'est arrondi avec la maturité. Et je confie préférer la période où son crayon était plus vif et plus dynamique. Un exemple emblématique réside dans le dessin des yeux. Suis-le seule à avoir remarqué qu'ils semblent plus fatigués dans les derniers opus qu'au début de la série. Comme si les personnages ployaient sous le poids de leur destin.

Au final, et tout considéré, mes deux tomes préférés sont L'orgue du diable et La frontière de la vie. Le romantisme allemand y éblouit nos yeux. Le suspens tend la narration et l'émotion submerge les vignettes.

Eléanore

Raymond

Raymond
Admin

Merci eleanore ! Je partage tout à fait ta préférence pour les premières aventures en Allemagne.  pouce

Notons que ces deux albums m'ont inspiré des petites vacances "iconophiles" (le Rhin et Rothenburg) et elles n'ont jamais été égalées.

Je réitère sinon ma petite question : Yoko Tsuno est-elle une BD féministe ? Je dirais plutôt que non ... mais cela m'intéresse d'avoir ta réponse.   Very Happy


_________________
Et toujours ... Roger Leloup le perfectionniste - Page 7 Charli10
https://lectraymond.forumactif.com

eleanore-clo

eleanore-clo
vieux sage
vieux sage

Raymond a écrit:
Sinon, il n'y a pas de doute pour moi que Yoko Tsuno est une série féministe. Il me semble aussi qu'elle plait surtout aux dames, mais il serait intéressant de leur demander aussi ce qu'elles en pensent.  Wink

Yoko Tsuno est une série qui a une apparence féministe... ou des tendances féministes... mais qui n'est pas directement féministe !

Côté pile et en tout premier lieu, Leloup choisit une héroïne. Ce n'est pas si fréquent et il est cocasse que ce choix ait été fait par un assistant d'Hergé !  Par ailleurs, Yoko Tsuno est autonome et ne dépend d'aucun homme pour vivre.
Qui dit féministe, dit aussi pluralité des héroïnes. Et c'est bien le cas puisque de nombreux autres personnages féminins peuplent les opus que ce soit la vinéenne Khany ou l'organiste Ingrid.
Notre héroïne est sans peur et sans reproche et elle porte une vision positive de la femme.
Quant aux héros de la série, les deux plus importants, Vic et Pol, ne sont que des faire-valoir.  

Côté face, j'ai parlé d'apparence féministe. En effet, qui dit féministe, dit femme. Certes, Yoko Tsuno est belle et le choix de ses kimonos démontre beaucoup de bon goût. L'élégance surpasse l’exotisme  Very Happy . Mais ne serait-elle pas une adolescente qui ne franchit pas le seuil de la vie de femme ? Ce qui serait d'ailleurs en phase avec le lectorat des éditions Dupuy  Smile .
Comme mentionné plus haut, Yoko peut être vue comme asexuée. Ainsi, aucun homme n'a trouvé le chemin de son cœur. Même pas Vic et encore moins Pol, si bien cantonnés dans le rôle de fidèles amis.
De plus ou ainsi, Yoko Tsuno n'a pas d'enfant. Et Poky n'est qu'un succédané. Le rôle de mère avec ses aléas, ses tristesse et ses joies, ses fatigues et ses bonheurs, n'existe pas dans la série.

On peut aussi adopter un regard militant. Le CNRTL donne comme définition du féminisme : Mouvement social qui a pour objet l'émancipation de la femme, l'extension de ses droits en vue d'égaliser son statut avec celui de l'homme, en particulier dans le domaine juridique, politique, économique; doctrine, idéologie correspondante. (https://www.cnrtl.fr/definition/f%C3%A9minisme) . Partant de là, nous avons une héroïne qui s’intéresse peu à la condition féminine. Le besoin d'égalité n'existe pas car non apparent.

Donc, je suis en phase avec Raymond  Very Happy

Raymond a écrit:
Je réitère sinon ma petite question : Yoko Tsuno est-elle une BD féministe ? Je dirais plutôt que non ... mais cela m'intéresse d'avoir ta réponse.   Very Happy

Eléanore

Raymond

Raymond
Admin

Eh oui ! J'hésitais entre les deux réponses !   

Mais en y réfléchissant bien ...  Very Happy


_________________
Et toujours ... Roger Leloup le perfectionniste - Page 7 Charli10
https://lectraymond.forumactif.com

Kimono


bédéphile pointu
bédéphile pointu

En ce qui me concerne, puisque le féminisme consiste tout simplement à viser une liberté de la moitié féminine de l'humanité égale à celle de la moitié masculine, il est évident que Yoko, jeune femme totalement libre, est un modèle féministe ; peu importe qu'elle n'ait pas de discours militant. Ce n'est pas une adolescente, et on est une femme même si on n'a pas de compagnon  sexuel, le nier est le contraire du féminisme, l'obligation du couple, l'obligation de la maternité ayant depuis des millénaires été imposé aux filles par le système patriarcal. "La femme est une jument poulinière" disait Goering. D'ailleurs Yoko a adopté une orpheline chinoise, Rosée, ce qui signifie qu'elle possède le (plutôt féminin) tropisme vers l'enfant - écartons le terme controversé d'"instinct maternel". Evidemment Roger Leloup duplique sa vie avec elle, puisque lui-même a adopté une orpheline coréenne sans avoir d'autre enfant.
Le paradigme de l'obligation couple-enfant est bien fourni par la page 34 du Matin du Monde : alors que Yoko décide de sauver très dangereusement Narki la danseuse, Vic essaie de l'en dissuader, en vain, puis ajoute "As-tu songé à Rosée?" Yoko répond "Oui, et cela me ronge, mais tout en moi me pousse à sauver Narki". Si Vic était le mari ou amant de Yoko (et le père de Rosée), il l'aurait évidemment contrainte par quelque chantage affectif à ne pas se dérober à sa "responsabilité" de mère. Tout est dit sur la liberté illusoire du statut d'épouse et mère, même si le patriarcat des démocraties libérales modernes est devenu "soft" et tente de ménager la chèvre et le chou. Pas dans tous les milieux...
Ceci dit, éléonore-clo, on peut comprendre que tu regrettes l'absence d'affaire de coeur chez Yoko, mais c'est une amazone, c'est la parthénomachie (le combat des vierges, comme tu le sais à coup sûr), un des grands thèmes de l'Aventure.
Je vais revenir plus tard sur le japonisme de Yoko, pour moi assez réussi. Dame, je ne m'appelle pas Kimono pour rien Smile

Kimono


bédéphile pointu
bédéphile pointu

Désolé, je vais être long et trop bavard. Je te concède volontiers, éléonore-clo, que Yoko dans le détail n'a pas toujours des réactions de Japonaise. Par exemple dans La Frontière de la Vie , au moment où l'on sort le cercueil de Magda et où Rudy se propose d'en examiner le contenu, Yoko s'écrie véhémentement : "ça je vous l'interdis !!" puis "ouvrir le cercueil serait une vile profanation !" Je ne crois pas que cette supposée "réaction nippone" soit typique. Pour le shintoïsme, un cadavre est hors la vie, impur, et pour le bouddhisme, qui gère la mort, le karma s'en est échappé pour une transmigration, un enfer ou bien le Paradis de la Terre Pure. On ne le sacralise donc pas et l'incinération est majoritaire. Au contraire, jadis en Europe pesait le tabou de l'Eglise, à cause du mythe chrétien de la Résurrection des morts au Jugement Dernier (je doute fort que les croyants continuent à y croire...) : comme ceux-ci devaient récupérer leur corps entier, longtemps l'Eglise a interdit toute dissection, ablation, profanation, et cela fait encore frissonner bien des gens. Mais Yoko ne semble pas chrétienne (il y en a au Japon, en très faible nombre) donc c'est Leloup ici qui se scandalise. Il y a d'autres points, comme le manque total de curiosité gastronomique de Yoko. TOUS les Japonais sont très motivés dans ce domaine, or elle s'en fiche et picore à peine : seul Pol est gourmand (et non gourmet) pour amener des gags. Toutefois par sa mentalité Yoko reflète plutôt bien les valeurs-clés japonaises : le courage, le refus de se plaindre (ça ne lui arrive jamais), le refus total de "baisser les bras". Dans Le Matin du Monde, Yoko a échoué complètement à sauver Narki une première fois. Et voilà qu'elle ne renonce pas et relance une tentative quasi-suicidaire !
Bien sûr (et je ne t'en accuse pas du tout, éléonore) je récuse complètement le cliché nippophobe du prétendu "sexisme" de la nation japonaise. J'ai une tonne de contre-exemples très concrets que j'épargne aux lecteurs de ce forum. Comme je l'ai mentionné dans ma présentation, j'ai épousé une Japonaise et vécu près de 15 ans avec elle. Nous allions au Japon tous les 2 ans pour 1 ou 2 mois et voyions évidemment sa famille et ses amies du même âge (de 25 à 39 ans, où elle décéda du cancer). Je n'ai perçu chez elles aucune différence avec les libertés des Françaises, même si sans doute dans les grandes entreprises règne encore un certain machisme (la France n'en est pas blanche comme neige...). Quant aux générations anciennes, les moeurs donnèrent toujours aux femmes un statut bien moins vassalisé à l'Homme qu'en tous les autres pays d'Extrême-Orient. Ainsi la tradition consiste en ce que l'épouse gère tout l'argent et les biens de la famille et que le mari lui remette tous ses gains et salaires en fin de mois. Elle lui accorde alors son argent de poche (limité pour éviter ses frasques et abus de boisson !). Je continue à me rendre là-bas, et n'ai pas compté mes séjours, donc je ne sais pas trop si c'est 14 ou 15. Bref.
Tu as bien raison éléonore-clo, sur le côté peu convaincant de Yoko en tant qu'électronicienne ! De quoi vit-elle, à ne jamais bosser (sauf dans le premier album) ?

Raymond

Raymond
Admin

Merci de ces réflexions qui proviennent d'un témoin privilégié de la vie des japonais. 

Sinon, le réalisme des bandes dessinées de divertissement n'est évidemment jamais complet. La question du travail du héros (ou de l'héroïne) est à cet égard exemplaire. Beaucoup de séries célèbres imaginent que le héros soit journaliste (Tintin, Spirou, Ric Hochet, Marc Dacier, etc) et ceci lui permet très commodément de faire le tour du monde. On le voit certes très rarement en train de travailler mais si on veut que le héros vive de vraies aventures, il faut bien s'accommoder de cette petite tricherie avec le réel. 

Yoko Tsuno ne peut donc que se conformer à cette longue tradition voyageuse. Il serait assez malvenu de le lui reprocher parce qu'elle est une dame. Wink



Dernière édition par Raymond le Jeu 6 Oct - 19:05, édité 1 fois


_________________
Et toujours ... Roger Leloup le perfectionniste - Page 7 Charli10
https://lectraymond.forumactif.com

eleanore-clo

eleanore-clo
vieux sage
vieux sage

Hum. Dire que la sociéte japonaise nest pas sexiste est plus qu'étrange. Oui, de façon simplifiée, L'épouse gère la maison et l'époux le travail. Mais ce sont des règles sociéales, imposées par une société masculine. Pourquoi certains métiers ne sont pas considérées comme honorables pour les femmes ? Pourquoi les hommes toyoïtes rentrent tard du travail après être passés dans un bar avec hôtesses (et relations sexuelles) et saké ? Au Japon, il est culturel de sauver la face. Personne effectivement ne se plaint et surtout pas les femmes. En public, elles rient lorsqu'elles sont gênées. Dans l'intimité de la maison, j'ai vu qu'elles serrent les dents, obéissent à l'époux et regardent des émissions à l'eau de rose... C'est Edo et il est tout à fait possible voire probable que la vie dans les préfectures soient différentes.

Eléanore

Kimono


bédéphile pointu
bédéphile pointu

Comment ça "plus qu'étrange" ? Il est manifestement caricatural de dire que tous les hommes rentrent du travail après être passés dans des bars à hôtesses après relations sexuelles et saké !! Dans quel milieu ou famille étais-tu ?? Si naguère les "salarymen" des grosses entreprises rentraient tard, c'était pour bénéficier des juteuses heures supplémentaires, mais depuis la crise très dure de la fin du XXeme siècle, ces grandes entreprises les ont supprimées par économie. Ma femme, comme beaucoup de jolies jeunes filles pour payer leurs études, a été hôtesse dans ce qu'on appelle un "snack"; or il leur est interdit d'avoir des relations sexuelles avec les clients sous peine de perdre leur job, la "mama-san" (patronne) n'ayant aucune envie de se faire lourdement taxer comme Maison de prostitution. Les filles sont là pour faire boire les hommes en gracieuse compagnie souriante, et c'est tout. Elles doivent boire aussi, mais ma femme m'a indiqué quelques-uns de leurs trucs pour échapper à l'ivresse. Là où tu tombes juste, Eléanore, c'est que le père de ma femme, petit entrepreneur, rentrait assez souvent tard (pour le Japon, soit vers 21 h 30), car une forme de politesse est de partager un pot au bar avec un collègue, un client, voire un supérieur. J'ai donc demandé à la mère de mon épouse si ça ne la dérangeait pas trop. En présence de son mari, elle a répondu "Au contraire, comme ça je peux rester plus longtemps chez mes copines sans avoir cet imbécile sur le dos ! Et il y a le micro-ondes". Et lui a rigolé. Tableau bien différent du tien, Eléanore. Au fait c'est sexiste de rentrer tard, si on n'est pas infidèle ? Tu n'as pas essayé la Corée, la Chine, la Thaïlande comme nous ? Là tu aurait de quoi crier au sexisme !
Mais je suis trop japonisé pour "aimer la polémique" comme Corto Maltese le dit des Français dans La Maison Dorée de Samarcande et j'arrête là mes contre-attaques, sachant très bien ce qui motive le procès anti-Japon et le rend sans fin. Ce pays n'est évidemment pas le paradis, mais il ne souffre pas de honte si on le compare à la France, par exemple la région Aquitaine, d'où je suis natif.
Vous savez comment ça se passe, un repas en Aquitaine ? Alors d'abord ..... puis..... et .... Rolling Eyes Very Happy

Kimono


bédéphile pointu
bédéphile pointu

Bien sûr, je parle des repas familiaux, hors de Bordeaux et de son noyau de bobos modernes.
Je ne sais pas du tout pour la Suisse, mais un(e) Français(e) n'a pas le droit de traiter le Japon de plus sexiste que son pays, là aussi les contre-exemples statistiques surabondent.
J'aime beaucoup tes passionnants comptes-rendus de BD, Eléanore, et je te promets de ne plus parler de ce thème, c'est inutile, hors-sujet, et ça me fait de la peine à cause des excellent(e)s ami(e)s que j'ai au Japon.

Oui, Raymond, le "métier" des héros de BD classiques, si vague, n'est qu'un prétexte à mouvement, voyages, aventures : reporter, cow-boy, pilote de course... On dit qqpart à Yoko "Ah, vous travaillez pour la télévision ?" alors que c'est plutôt Pol.

Raymond

Raymond
Admin

L'intégrale Yoko Tsuno continue à paraître et le tome 10 est paru récemment ! Il reprend les 3 derniers titres de la série.

Roger Leloup le perfectionniste - Page 7 Yoko-i10

Personnellement, je ne suis pas un client de cette intégrale et les albums simples me suffisent. Mais je triche un peu, car j'achète maintenant les albums grands format qui contiennent toujours un épais dossier supplémentaire. Wink

Planète BD commente par ailleurs cet album :

https://www.planetebd.com/bd/dupuis/yoko-tsuno/les-ailes-du-peril/51281.html#image


_________________
Et toujours ... Roger Leloup le perfectionniste - Page 7 Charli10
https://lectraymond.forumactif.com

Raymond

Raymond
Admin

Le 31ème album de Yoko Tsuno se prépare et l'histoire se passera en Ecosse. Il s'intitule L'aigle des Highlands.

Roger Leloup le perfectionniste - Page 7 Aigle-12

ActuaBD évoque cette nouveauté du printemps 2024.

https://www.actuabd.com/+Yoko-Tsuno-et-Roger-Leloup-defient-le-temps+


_________________
Et toujours ... Roger Leloup le perfectionniste - Page 7 Charli10
https://lectraymond.forumactif.com

Kimono


bédéphile pointu
bédéphile pointu

Ah, j'adore Roger Leloup ! On a tellement en commun, lui et moi ! 90 ans ?? ça alors ! Bon je vais sûrement acheter cet album !

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 7 sur 7]

Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5, 6, 7

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum