Selon le Petit Robert, la daube est simplement une "manière de faire cuire certaines viandes à l'étouffée". Le bœuf en daube est par exemple une recette traditionnelle qui n'est pas désagréable à manger, à condition bien sûr de ne pas en avoir tous les jours. C'est de la cuisine tout à fait estimable.
Pour un amateur de BD, ce mot prend un sens un peu plus négatif. La daube désigne ainsi une œuvre qui n'est pas mauvaise en soi, mais qui a peu de qualités positives. Elle désigne en fait assez souvent une BD un peu anodine et inodore, sans originalité et généralement sans grand intérêt. Les BD commerciales sont biee souvent des daubes, mais pas nécessairement. Les BD d'auteurs (et certains soi-disant chefs d'œuvre) peuvent aussi être des daubes innommables.
En tant que gros collectionneur de BD, qui possède des milliers d'albums et de revues, j'ai accumulé bien sûr un nombre impressionnant de daubes au cours de ma carrière. Bien souvent, je les apprécie quand même, pour des tas de raisons diverses, et il existe donc de nombreuses nuances lorsque l'on utilise le terme de "daube". Je vais essayer de les passer un peu toutes en revue dans ce modeste sujet.
A part cela, depuis quelques mois, mon épouse m'a interdit d'installer une nouvelle bibliothèque supplémentaire dans notre villa et mon regard sur les daubes est devenu un peu différent. Si je veux acheter de nouveaux albums, il faut d'abord se débarrasser d'anciens livres sans intérêt et je dois donc souvent réfléchir à ce que je n'aime vraiment pas. Pendant longtemps, les daubes aboutissaient au grenier où elles étaient bien souvent oubliées. Maintenant, je dois monter au grenier pour choisir ce que je mets au débarras et ... cela devient parfois un dilemme.
Est-ce que je posséderai à la longue moins de daubes, en me débarrassant des albums les plus insignifiants ? Ce n'est pas sûr, car les nouveaux albums sont un peu comme ceux d'il y a 30 ou 40 ans. Ils nous piègent bien souvent grâce à leur apparence soignée et aussi au battage publicitaire qui les entoure. Ce n'est parfois qu'à la longue que l'on réalise avoir acheté une daube.
Voilà, il y a probablement beaucoup à dire ce sujet et j'espère que vous aurez la gentillesse d'y participer. Je ne suis probablement pas le seul à posséder un certain nombre de daubes dans ma bibliothèque et il y aura je l'espère beaucoup d'arguments à débattre sur ce sujet.
Pour un amateur de BD, ce mot prend un sens un peu plus négatif. La daube désigne ainsi une œuvre qui n'est pas mauvaise en soi, mais qui a peu de qualités positives. Elle désigne en fait assez souvent une BD un peu anodine et inodore, sans originalité et généralement sans grand intérêt. Les BD commerciales sont biee souvent des daubes, mais pas nécessairement. Les BD d'auteurs (et certains soi-disant chefs d'œuvre) peuvent aussi être des daubes innommables.

En tant que gros collectionneur de BD, qui possède des milliers d'albums et de revues, j'ai accumulé bien sûr un nombre impressionnant de daubes au cours de ma carrière. Bien souvent, je les apprécie quand même, pour des tas de raisons diverses, et il existe donc de nombreuses nuances lorsque l'on utilise le terme de "daube". Je vais essayer de les passer un peu toutes en revue dans ce modeste sujet.

A part cela, depuis quelques mois, mon épouse m'a interdit d'installer une nouvelle bibliothèque supplémentaire dans notre villa et mon regard sur les daubes est devenu un peu différent. Si je veux acheter de nouveaux albums, il faut d'abord se débarrasser d'anciens livres sans intérêt et je dois donc souvent réfléchir à ce que je n'aime vraiment pas. Pendant longtemps, les daubes aboutissaient au grenier où elles étaient bien souvent oubliées. Maintenant, je dois monter au grenier pour choisir ce que je mets au débarras et ... cela devient parfois un dilemme.
Est-ce que je posséderai à la longue moins de daubes, en me débarrassant des albums les plus insignifiants ? Ce n'est pas sûr, car les nouveaux albums sont un peu comme ceux d'il y a 30 ou 40 ans. Ils nous piègent bien souvent grâce à leur apparence soignée et aussi au battage publicitaire qui les entoure. Ce n'est parfois qu'à la longue que l'on réalise avoir acheté une daube.
Voilà, il y a probablement beaucoup à dire ce sujet et j'espère que vous aurez la gentillesse d'y participer. Je ne suis probablement pas le seul à posséder un certain nombre de daubes dans ma bibliothèque et il y aura je l'espère beaucoup d'arguments à débattre sur ce sujet.
