Pour ma part, je n'ai pas trouvé Blanket "chiant", bien au contraire. De plus, le terme "névrose/psychose me semble un peu excessif (je parlerai plutôt de nostalgie). Mais malgré tout, même en retirant les points qui correspondent à ces attributs, j'arrive à un total de 51 et c'est donc bien un roman graphique.
Bien sûr, il ne faut pas oublier que ce "score" est avant tout un gag et qu'il n'a rien de sérieux. Il met de plus en avant certaines spécificités probablement erronées du roman graphique (qui ne serait par exemple valable que pour les albums publiés chez un éditeur indépendant) et il ne faut pas s'y fier. Et enfin, personne n'a vraiment trouvé une définition convenable du roman graphique, même si l'intuition permet bien souvent de le reconnaître du premier coup, et beaucoup de BD restent ainsi difficilement classifiables.
Ceci dit, je viens par exemple de terminer le Droit du Sol d'Etienne Davodeau, un livre un peu longuet qui me semble aussi être un roman graphique. Il erst cependant publié par un grand éditeur et je vais donc essayer d'appliquer cette grille de BDGest, pour m'amuser !
L'album a plus de 150 pages (hélas), il est en noir et blanc, il est chiant à la longue (alors que le début est très intéressant), par moment très verbeux (surtout lorsque l'auteur convoque toute une série de spécialistes pour exposer ses points de vue sur le nucléaire, la police etc.) et il est bien sûr autobiographique (Davodeau raconte un voyage à pied à travers la France). Tout cela fait donc 40 points.
Après, c'est moins flagrant ! On pourrait admettre éventuellement que c'est pénétrant et cela monte le score à 47 points, mais ça s'arrête là !
Du point de vue de la définition de BDGest, c'est assez limite, mais c'est de toute évidence une BD d'auteur, assez ambitieuse et un peu hautaine. Et intuitivement, il s'agit sans aucun doute d'un roman graphique.
Il faudra sinon que j'essaie d'en parler dans le sujet consacré à Davodeau.

Bien sûr, il ne faut pas oublier que ce "score" est avant tout un gag et qu'il n'a rien de sérieux. Il met de plus en avant certaines spécificités probablement erronées du roman graphique (qui ne serait par exemple valable que pour les albums publiés chez un éditeur indépendant) et il ne faut pas s'y fier. Et enfin, personne n'a vraiment trouvé une définition convenable du roman graphique, même si l'intuition permet bien souvent de le reconnaître du premier coup, et beaucoup de BD restent ainsi difficilement classifiables.
Ceci dit, je viens par exemple de terminer le Droit du Sol d'Etienne Davodeau, un livre un peu longuet qui me semble aussi être un roman graphique. Il erst cependant publié par un grand éditeur et je vais donc essayer d'appliquer cette grille de BDGest, pour m'amuser !

L'album a plus de 150 pages (hélas), il est en noir et blanc, il est chiant à la longue (alors que le début est très intéressant), par moment très verbeux (surtout lorsque l'auteur convoque toute une série de spécialistes pour exposer ses points de vue sur le nucléaire, la police etc.) et il est bien sûr autobiographique (Davodeau raconte un voyage à pied à travers la France). Tout cela fait donc 40 points.
Après, c'est moins flagrant ! On pourrait admettre éventuellement que c'est pénétrant et cela monte le score à 47 points, mais ça s'arrête là !

Du point de vue de la définition de BDGest, c'est assez limite, mais c'est de toute évidence une BD d'auteur, assez ambitieuse et un peu hautaine. Et intuitivement, il s'agit sans aucun doute d'un roman graphique.

Il faudra sinon que j'essaie d'en parler dans le sujet consacré à Davodeau.
