C’est un album qui a une histoire solide q.b., et un bon dessin, très proche de l’époque de La Tiare d'Oribal, comme promis.
Enak a un sens de l'humour inconnu jusqu'à ce moment, et il est aussi heureux de la mort de quatre de ses ennemis. Alix reste lui-même, en regrettant les morts, même si c’était pour sa défense. Il y a aussi un côté exotique dans la présence de la Peur.
Ce n’est pas un album qui éblouit, mas c’est un bon album quand même.
Pour la présentation de l’album, on a un autre graphisme dans la couverture, il n’y a pas aucun numéro au dos, les pages de garde étaient changés, derrière ne reste plus que la colonne; on a une bonne présentation de l'album, à la place où habituellement est la liste des albums de la série, qui, cette fois, est à l'intérieur, mais où n'est pas incluse cette aventure. Et on n’a pas aucune référence aux 70 ans d’Alix …
À moins que quelques changements soient faits, à mon avis, Vini Vidi Vici, reste comme un hors-série (et pas un Alix vue par…).