"Grands peintres", tel est le nom de la nouvelle série historique lancée par Glénat au cours de ce mois de mars. Le premier titre est consacré à Jan van Eyck.
J'espérais beaucoup de ce premier titre qui m'a vraiment déçu. L'idée de départ est pourtant excellente, puisque chaque album doit raconter la genèse d'une oeuvre marquante du peintre (au lieu de se contenter d'une banale biographie). Hélas, le scénariste n'est pas à la hauteur de son sujet, et il imagine une aventure totalement imaginaire et insipide. Le récit n'a en fait plus grand chose à voir avec le véritable sujet du livre, qui est la création du Retable de l'Agneau mystique (un des chefs d'oeuvre du peintre).
David Hé fait son travail de dessinateur d'une façon professionnelle, mais il abuse un peu des grandes images. Certaines pages deviennent un peu vides et ceci délaie encore plus une histoire qui n'est pas très palpitante (et pas bien racontée).
J'ai refermé ce livre en concluant que la réalité est certainement plus intéressante que cette BD.
Tout cela est bien regrettable, car l'idée de l'éditeur n'est pas mauvaise. On peut toutefois encore espérer que les albums suivants vont relever le niveau.
J'espérais beaucoup de ce premier titre qui m'a vraiment déçu. L'idée de départ est pourtant excellente, puisque chaque album doit raconter la genèse d'une oeuvre marquante du peintre (au lieu de se contenter d'une banale biographie). Hélas, le scénariste n'est pas à la hauteur de son sujet, et il imagine une aventure totalement imaginaire et insipide. Le récit n'a en fait plus grand chose à voir avec le véritable sujet du livre, qui est la création du Retable de l'Agneau mystique (un des chefs d'oeuvre du peintre).
David Hé fait son travail de dessinateur d'une façon professionnelle, mais il abuse un peu des grandes images. Certaines pages deviennent un peu vides et ceci délaie encore plus une histoire qui n'est pas très palpitante (et pas bien racontée).
J'ai refermé ce livre en concluant que la réalité est certainement plus intéressante que cette BD.
Tout cela est bien regrettable, car l'idée de l'éditeur n'est pas mauvaise. On peut toutefois encore espérer que les albums suivants vont relever le niveau.