Cet après-midi, il y avait l'anniversaire de mon frère, mais il y avait surtout un autre événement. En fait, la Suisse entière était scotchée en face d'un poste de TV.
La finale de Roland-Garros, ce n'est pas toujours une partie de plaisir. Depuis trois ans, Federer se fait régulièrement abattre par Nadal. Les humiliations répétées ... ça commence à bien faire.
Il y a bien sûr des rénégats, mais aujourd'hui, ils se cachaient six pieds sous terre. Il n'y avait qu'un seul héros : ROGER , ou plutôt "Rodger" (il faut bien respecter la prononciation alémanique ).
Le match s'est bien passé. Au premier set, le "wiking" s'est litéralement liquéfié. Il y a eu 6-1 avant même que l'on ait réalisé ce qui se passait.
Au deuxième set, la bagarre s'est équilibrée. Il y a eu un "tie-break", mais j'ai remarqué à ce moment que "le Roger" avait l'oeil mauvais. Il ne fallait pas lui chipper son os ! Avec 4 aces et 3 coups gagnants, il n'a laissé aucune chance au suédois.
Au 3ème, le "nordique semblait un peu démoralisé. Il a perdu d'emblée son service, et l'affaire était dès lors classée. Roger était le meilleur.
Aaaaaah !
Il y a eu quelques bon mots. J'ai d'abord entendu mon père crier . " YES WE CAN". Ce n'était pas très original, mais ça sortait du coeur.
Ma belle soeur, si réservée et discrète d'habitude, elle s'est mise à chantonner : "on les a eu, les doigts dans le ..." euh... oui ... il faut dire qu'on avait bu beaucoup d'abricotine.
Pour ma part, j'ai gardé mon self-control. Je me suis contenté de sautiller sur le tapis du salon en beuglant " YEEEEEEEEEEEEEEEEAH".
Et puis, lorsque l'orchestre a joué l'hymne du Cantique Suisse, et que Federer a eu les larmes au yeux, je dois avouer que j'ai ressenti un peu la même chose.
Mais ... tout de même ... il ne faut pas croire que nous soyons chauvins ?
Bon ! C'est terminé ! On va pouvoir reparler de BD.
La finale de Roland-Garros, ce n'est pas toujours une partie de plaisir. Depuis trois ans, Federer se fait régulièrement abattre par Nadal. Les humiliations répétées ... ça commence à bien faire.
Il y a bien sûr des rénégats, mais aujourd'hui, ils se cachaient six pieds sous terre. Il n'y avait qu'un seul héros : ROGER , ou plutôt "Rodger" (il faut bien respecter la prononciation alémanique ).
Le match s'est bien passé. Au premier set, le "wiking" s'est litéralement liquéfié. Il y a eu 6-1 avant même que l'on ait réalisé ce qui se passait.
Au deuxième set, la bagarre s'est équilibrée. Il y a eu un "tie-break", mais j'ai remarqué à ce moment que "le Roger" avait l'oeil mauvais. Il ne fallait pas lui chipper son os ! Avec 4 aces et 3 coups gagnants, il n'a laissé aucune chance au suédois.
Au 3ème, le "nordique semblait un peu démoralisé. Il a perdu d'emblée son service, et l'affaire était dès lors classée. Roger était le meilleur.
Aaaaaah !
Il y a eu quelques bon mots. J'ai d'abord entendu mon père crier . " YES WE CAN". Ce n'était pas très original, mais ça sortait du coeur.
Ma belle soeur, si réservée et discrète d'habitude, elle s'est mise à chantonner : "on les a eu, les doigts dans le ..." euh... oui ... il faut dire qu'on avait bu beaucoup d'abricotine.
Pour ma part, j'ai gardé mon self-control. Je me suis contenté de sautiller sur le tapis du salon en beuglant " YEEEEEEEEEEEEEEEEAH".
Et puis, lorsque l'orchestre a joué l'hymne du Cantique Suisse, et que Federer a eu les larmes au yeux, je dois avouer que j'ai ressenti un peu la même chose.
Mais ... tout de même ... il ne faut pas croire que nous soyons chauvins ?
Bon ! C'est terminé ! On va pouvoir reparler de BD.